
L'élection de Nicolas Sarkozy est un enchantement pour tous les chroniqueurs politiques et pour les amoureux (n'y voyez aucune allusion) de Shakespeare.
A croire que NS veut nous faire plonger dans la lecture du grand William (ce qui soit dit en passant est un vrai régal) pour deviner ses prochains actes/turpitudes/réalisations ( barrez la mention inutile).
Je me résume : son histoire commence avec son élection et donc la vengeance du père assassiné (Balladur mort politiquement tué par Chirac) et nous avons là du Hamlet.
Puis drame de l'amour et de la jalousie avec le divorce et nous avons une relecture de Othello. La ballade de Carla et Nicolas sur les bords du Nil, et , mais c'est bien sûr, Antoine et Cleopâtre.
Vous croyez que c'est fini, pas du tout, voici poindre à l'horizon Brutus (Jean fils de ...) et les ides de Mars (élections municipales) et, nous de conseiller à Jules César(little) 'Sarkozy' de se méfier de ses proches.
Jules César dans le texte Shakespearien : Je veux près de moi des hommes gras, des hommes à la face luisante et qui dorment les nuits. Ce Cassius là-bas a l'air bien maigre et famélique ; il pense trop. De tels hommes sont dangereux. On aura tous reconnu dans les hommes gras Xavier Bertrand, Pierre Charron, Roselyne Bachelot et dans Cassius ce pauvre Fillon.
M'est avis que cette histoire n'est pas fini et je prédis un sanglant Mac Beth avant la fin du mandat et forcèment une fin à la Roi Lear.
Rendez vous bientôt pour les prochains épisodes de ce Parifollichon .
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